Le financement humanitaire doit s'améliorer : nous devons passer des modèles de financement réactifs à des modèles proactifs si nous voulons prévenir la souffrance humaine.
Michaela Larson dit que la réponse à la question de savoir comment nous pouvons aider les populations les plus pauvres du monde à devenir plus résilientes après une crise est évidente : nous leur donnons de l'argent.
La semaine dernière a eu lieu le lancement officiel du partenariat mondial InsuResilience initié par le G7 et le G20. Le partenariat vise à mieux protéger les personnes pauvres et vulnérables contre les impacts des catastrophes, en utilisant des solutions de financement et d'assurance contre les risques climatiques et de catastrophe. Il a une forte coalition de partenaires impliqués, y compris les gouvernements, le secteur privé, les Nations Unies et les organisations de la société civile, telles que le Start Network.
Cette étude de cas, réalisée à l'occasion de la Journée internationale de la femme 2017, se concentre sur Millet Morante des Philippines. Elle est membre de l'organisation Kaisa Ka (des bénévoles qui cherchent à faire avancer les droits des femmes philippines) et du People-Based Humanitarian Action Consortium (PBHAC).
